_gogeta91_ Lecteur occasionel
Nombre de messages : 10 Age : 31 Localisation : Paris Date d'inscription : 17/06/2007
| Sujet: L'existence d'un Sayen Lun 18 Juin 2007 - 18:57 | |
| L'existence d'un Sayen Prologue: Le début de la fin"-Tuez là! -Non! " Au moment où j'allais secourir ma douce et tendre épouse, trois soldats m'avaient immobilisé sur le mur. Les autres s'étaient approchés de ma femme, et le combat avait commencé. Un combat inégal, ils étaient une dizaine et elle seule. Je la regardais en train de se battre avec des yeux implorants et me désolais d'être aussi inutile... Si seulement ces trois soldats m'avaient laché, je serais aller au secour de Laëna, mais non. Et c'étais donc sous un regard terrifié que j'avais assisté au coup de grâce sur mon épouse. Une manchette adroite, qui avait fendu l'air, s'était abbatue sur sa nuque, brisée sur le coup. J'avais essayé du mieux possible de retenir mes larmes, en tant que sayen je n'avais pas le droit cédé au désespoir. Je me rappelle aussi avoir poussé un hurlement de rage et de tristesse en essayant de me débattre. Alors que je commençais à repousser un assaillant, un autre soldat m'avait donné un coup bien placé dans le ventre, je m'étais cambré en deux et affalais sur le sol. Les paupières mi-closes, j'avais aperçu un guerrier, sûrement le chef de l'opération, prendre mon fils. J'avais tenté de me relever mais un coup de pied en plein dans mon menton m'avais déboité la machoire. Mon fils était parti en pleure, sur l'épaule de l'agresseur et moi, j'étais resté au sol, impuissant. Avant de partir, un soldat m'avais adressé la parole, il m'avait dit: "-C'est ce qui arrive à ceux qui se rebelle à Maître Freezer". Puis il était parti avec un sourire narquois. J'étais resté au sol, sans comprendre et surtout sans vouloir donner un sens à cette phrase... Je m'appelle Toma, deux ans ont passé depuis la mort de ma femme Laëna et la disparition de mon fils. Je ne sais toujours pas pourquoi, les guerriers qui avaient agressé ma famille m'ont laissé en vie. Peut être qu'ils ont appliqué les ordres de maître Freezer à la lettre, et donc ont estimé que les actions de ma femme n'avait rien avoir avec moi. Toujours étant que sa mort et la raison de celle-ci fut vite répandue, et sachant qu'elle a voulu se révolter face à maître Freezer, tout le monde affiche du mépris à mon égard. Je ne m'en soucie peu, depuis la mort de Laëna, je garde mes distances avec le monde extérieur. Je n'ai jamais été un guerrier aussi fort que ma femme, je suis même assez faible, pourtant je n'ai plus qu'un but, me vengeais de maître Freezer. C'est pour quoi, après avoir fait pendant toute mon existence des petites missions, toute une vie où je repérais juste les planétes à conquérir, je décidai de tout faire pour enfin pouvoir reparticiper aux assauts. J'ai eu le rêve fou de devenir plus fort que Freezer, et je compte bien y parvenir. Pendant plusieurs mois, je m'entraînai hors des missions, sans relâche et avec aucun temps de repos. Je commençai au lever du jour et m'arrétai au coucher du soleil. Je n'ai qu'un seul but, battre Freezer. Quand je vois des Saiyens sortir de leurs capsules après avoir conquis une planéte, les voir sourire et rigoler sur les atrocités qu'ils avaient commis, je suis envieux, envieux d'être à leur place. Depuis quelques temps je méne une double vie, une ou je fais des missions sans danger, qui ne vont pas plus loin que du repérage, et l'autre dans laquelle je m'entraîne, sans relâche pour devenir plus fort. Après quelques mois comme ceux-ci, je décide d'aller faire une requête pour demander à monter en grade pour enfin faire les missions les plus périlleuses. Je me sens beaucoup plus fort, beaucoup plus assuré. Et c'est donc avec un regard sûr et un moral d'acier que je vais me présenter aux batiments qui s'occupe des demandes. Je rentre dans la base principale, il y a une multitude de petites grilles ou se trouvent des différents guichetiers à l'opposé. J'en choisis une libre et me retrouve devant un être tout bleu, avec le crane allongé en arrière et des petits yeux globuleux. Il me demande sans me regarder: "-Que voulez vous?" | |
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