1er chapitre : Les 1er changements.
Lorsqu’ils furent rentrer chez la mère de la jeune fille, ils se débarassèrent de leur blousons et s’allongèrent dans son lit. Jonathan ne pouvait s’empêcher de repenser aux paroles du vieil homme.
Soudain, sa copine lui rétorqua :
Marie : Mais t’as pas bientôt fini de penser à ça, tu sais très bien que c’est un fou, tu as déjà perdu ta mère, tu vas quand même pas t’embrouiller l’esprit avec ça ?
Jonathan : Je sais ça mais ça choque toujours quand on t’annonce ça, c’est bizarre mais c’est comme si il disait vrai, il avait l’air si convaincu.
Marie : Bon stop, tu vas encore partir dans tes délires !
Durant le reste de l’après-midi, ils s’occupèrent comme tout leurs autres mercredi, la fin de cette journée approchait et les deux amoureux devaient déjà se dire au revoir :
Jonathan : Bon et bah à demain, je viens à la même heure qu’aujourd’hui ?
Marie : Oui et fait attention en rentrant !
Jonathan : Mais t’en fait pas, je suis prudent tu me connais !
Marie : C’est bien pour ça que je m’inquiète en plus il fait nuit.
Jonathan : T’en fait pas je serais prudent. Je t’aime, à demain.
Marie : Je t’aime.
Ils s’embrassèrent et il parti à vive allure sur son vélo en direction de chez lui.
Durant le trajet, jonathan ne pouvait s’empêcher de repenser à ce vieillard, avait-il raison ? Etait-il vraiment fou ? Toutes ces questions qui lui traversaient la tête l’agaçait et pour oublier, pédala un bon coup pour augmenter la vitesse de son vélo. Lorsqu’il parvint à une vitesse suffisante pour sentir l’air lui fouetter les jouts, il s’arrêta et ferma les yeux quelques secondes pour y faire le vide dans son esprit.
Lorsqu’il les rouvrit, il se trouvait au-dessus du sol.
Effrayé par ce phénomène, il ne put s’empêcher de paniqué et tomba du vélo pour ensuite se retrouver dans un fossé.
Lorsqu’il se réveilla, il se trouvait sur une île avec une maison et un palmier.
Il visita cette minuscule île. Cela ne lui prît que quelque minutes. Soudain, une tortue sortit de la maison et lui parla :
Tortue : Bonjour ! Qui es-tu ?
Jonathan *époustouflé* : Mais, tu parles ?
Torute : Et pourquoi je ne parlerais pas ?
Jonathan : Bah tu es un animal ! Non mais je rêve là, tu ne peux pas parler, tu n’es qu’une simple et pauvre tortue !
Tortue *énervé* : Je vais te faire montrer moi ce que peut faire une “simple” et “pauvre” tortue !
Sur ces mots, elle s’élança à une vitesse incroyable sur lui et lui faucha les jambes. Jonathan ce trouvant par terre, elle en profita pour se jeter sur lui.
Jonathan : Mais c’est impossible, comment peut-elle faire cela !
Elle continua de lui écrasé l’abdomen puis soudain, l’embrassa. Il ne pouvait rien faire, il était comme paralysé. Elle lui insufla de l’air dans la bouche comme pour le réanimer puis lui sauta encore dessus. Un vieile homme sortit de la maison, il n’était guère plus grand que jonathan et portait une carapace sur le dos :
Vieil Homme : Mais, que fais-tu ? Ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre !
Comme la tortue, il lui insufla lui aussi de l‘air dans la bouche mais contrairement à la torute, il savait ce qu‘il faisait. Il reprit le contrôle de son corps et fît des mouvements de bras pour faire signe à cette personne d’arreter ce qu’elle fît de suite. Il était ébahie, tout avait changé autour de lui. Il fût éblouie par les vives lumières bleu et rouge qui n’arretaient pas de tourner puis reconnu immédiatement un camion de pompier. Il contempla les alentours, toujours allonger, et reconnu la route sur laquelle il s’était renverser de son vélo croyant que celui-ci s’était mis à voler. L’homme, qui n’était autre qu’un pompier, l’interrogea :
Pompier : Vous allez bien ?
Jonathan *se mettant assis* : oui, on peut dire ça.
Homme : Désolé de ne pas m’y être pris correctement en attendant les pompiers !
Jonathan : ?
Pompier : Ce n’est pas grave, l’essentiel est qu’il ait repris consience. Dites, comment ce fait-il que ton vélo soit dans cet état et que toi, tu es presque indemnes ?
Jonathan *regardant son vélo* : Mon vélo !! !
En effet, son vélo était en pièce. La chute lui avait vallu d’avoir brisé en deux le cadres. Il ne pût sempêcher de verser une larme car c’était le seul souvenir que lui avait offert sa mère avant de mourir.
Le pompier l’interrogea encore de nombreuses minutes pour savoir s’il ne délirait pas. Il se fit conduire à l’hôpital où un médecin l’éxamina. Il ne distingua rien de particulié mis à part les quelques égratignures dût à la chute. Le médecin afirma qu’il pouvait tout de même rentrer chez lui s’il le souhaitait ce qu’il fît sans attendre.
En arrivant chez lui, un mot était posé sur la table de la cuisine : “Ton repas est dans le micro-onde, bonne appétit et bonne nuit “. C’était l’écriture de son frère, en effet depuis la mort de sa mère, il ne vivait plus qu’avec son grand frère de 19 ans qui était sa dernière famille. Quand à son père, il ne l’avait jamais connu. Il se réchauffa son repas, mangea en 2 minutes et partir se coucher. Mais comme prévu, il ne pouvait s’empêcher de repenser à son vélo qui s’était mis à s’élelver dans le ciel et à ce drôle de rêve qu’il avait fait alors qu’il avait parut si réel. Au fur et à mesure, ses paupières s’allourdirent et il s’endormi.